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   Découvrez les merveilles du Morbihan

Histoire de notre village Trédion

Trédion vient de « Treduchum’ ».

Trédion est une ancienne trève ou frairie de la paroisse d’Elven, dont elle est détachée en 1136.

À cette trêve a été rajoutée celle d’Aguénéac pour créer une paroisse nouvelle en 1820.

En 1833, les anciennes trèves de Trédion et d’Aguénéac sont séparées de la commune d’Elven pour former la nouvelle commune de Trédion dès 1836.

Source : Wikipedia

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Le Château de Trédion

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Blason sur le château de Trédion

 

Construit dans les années 1350, le Manoir de Trédion était la propriété des Ducs de Bretagne. Les vastes forêts qui l’entouraient en faisaient un rendez-vous de chasse privilégié. De grands noms possédèrent au cours des siècles les Terres de Trédion. Parmi eux, les Malestroit, Jean IV de Rieux, le Marquis de Nesle, Guy-Paul de Coligny, la Princesse de Salm, Pierre II de Sérent, Charles Fouquet en 1683, parent éloigné de l’intendant Fouquet, à l’origine de la légende du Trésor de Trédion qui se trouverait enfoui au pied d’un chêne… Se succédèrent ensuite quelques Bourgeois et gens de Petite Noblesse.

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Si le Château de Trédion a connu d’illustres propriétaires au cours de cette période, il a reçu de plus illustres invités encore. Le Roi François Ier qui le 31 août 1518 se restaura et logea au « Château » une nuit, avant de rejoindre le lendemain Vannes, à l’époque « petite Cité de 9 000 âmes ». La Reine mère Catherine de Médicis régente du royaume de France et hôte des Coligny, résida au Château au moins deux semaines au mois de mai de l’an 1570 (deux lettres écrites de Trédion en témoignent).

C’est le 21 juillet 1834, qu’Hippolyte du Fresne de Virel acquiert le Château et les Terres de Trédion. Il y établit en 1840 un « Haut Fourneau » pour le montage des objets en fonte, et entreprend la transformation du manoir pour en faire un « Château ».

En 1977, le Domaine est revendu par les héritiers de Virel à Guy Turpin promoteur Immobilier à Vannes. Des travaux de rénovation considérables sont entrepris, tant dans le château, que dans le parc et se poursuivent encore aujourd’hui.

 

Source : Wikipedia

Josselin

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Josselin est une ville probablement créée aux alentours de l’an mille par Guéthénoc, fils du duc de Bretagne Conan Ier le Tort. Ce vicomte de Porhoët aurait construire en ce lieu un premier château en bois vers l’an 1008 et qui sera détruit par le roi Henri II Plantagenêt en 1168.
Son fils Goscelinus donne son nom à la nouvelle forteresse, Castellum Goscelini, d’où Château-Josselin puis Josselin, le bourg castral qui offre une relative sécurité.
Selon la légende, en 808, un laboureur découvre une statue de bois dans les ronces (Notre-Dame-du-Roncier) qui permit à sa fille, aveugle de naissance, de retrouver la vue. À la suite de ce miracle, une chapelle puis une église (dont il reste certains chapiteaux datant du xiie siècle) et enfin une basilique sont construites à l’endroit de cette découverte.
Dans cette basilique, une fresque rappelle le combat des Trente qui a eu lieu à mi-chemin entre Josselin et Ploërmel lors de la guerre de Cent Ans.
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La pauvreté documentaire de cette période ne permet pas de bien saisir le rythme et les étapes de cet encellulement lié à la construction de ce château et au pardon de Notre-Dame du Roncier, mais il correspond à une entreprise des Rohan de défrichement, de concentration et de domination des hommes.

Grâce à une conjoncture économique favorable, au développement d’un espace géographique immédiat, aux moyens d’accès et de sécurité et à ses capacités d’accueil, la cité devient un centre commercial important.

L’afflux de marchands et de paysans nécessite l’édification d’une cohue.

Ville drapante renommée, elle a le privilège de députer aux États de Bretagne sous l’Ancien Régime.

 

Source : Wikipedia

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Brocéliande

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Merlin et Viviane dans Brocéliande, d’après une gravure de Gustave Doré

 

Brocéliande est une forêt mythique citée dans plusieurs textes, liés pour la plupart à la légende arthurienne. Ces textes, datés du Moyen Âge pour les plus anciens, y mettent en scène Merlin, les fées Morgane et Viviane, ainsi que certains chevaliers de la table ronde.

D’après ces récits, la forêt de Brocéliande héberge le val sans retour, où Morgane piège les hommes infidèles jusqu’à être déjouée par Lancelot du lac; et la fontaine de Barenton, réputée pour faire pleuvoir.

Brocéliande serait aussi le lieu de la retraite, de l’emprisonnement ou de la mort de Merlin.

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Le premier texte à la citer est le Roman de Rou, rédigé par le poète anglo-normand Robert Wace vers 1160. C’est dans les textes postérieurs que Brocéliande trouve son nom actuel et la plupart de ses attributions, sans que sa localisation physique ne soit évidente.

La première revendication physique de cette forêt remonte au  lorsque les Usemens et Coustumes de la foret de Brecilien sont écrits au château de Comper par un certain Lorence, chapelain du comte Guy XIV de Laval. Ces revendications physiques évoluent au fil des années.

Au début du xixe siècle, Brocéliande est assimilée à la Forêt de Lorge (dite forêt de Quintin). Depuis les années 1850, différents auteurs l’associent surtout à la forêt de Paimpont, au point que cette théorie devient la plus largement admise par la culture populaire. Seules les communes situées autour de la forêt de Paimpont utilisent le nom « Brocéliande »

 

Source : Wikipedia

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Vannes

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Blason de Vannes

 

L’histoire de Vannes se déploie sur plusieurs millénaires, depuis la protohistoire. Après la guerre qui les opposa aux légions de César, l’administration romaine fait de Darioritum, nom antique de la ville, la civitas des Vénètes à la fin du ier siècle av. J.-C. sous le règne d’Auguste.

À la fin de l’empire romain, des colons bretons (venus de l’actuelle Grande-Bretagne) ainsi que des soldats maures sont installés pour protéger la région des pirates saxons. C’est aussi entre le iiie siècle et le ve siècle que la ville se fortifie et se christianise. La ville accueille l’évêché et les ordres religieux catholiques en 465 lors du concile de Vannes. Ce concile consacre Patern, saint patron de la cité, saint fondateur de Bretagne et premier évêque attesté de Vannes.

Au cœur d’un comté qui forme un véritable espace-frontière, la cité est conquise en 578 par le roi Waroch II qui organise le Bro Waroch, espace politique dont Vannes est la capitale, avant d’être rattachée à la Bretagne en 851. La position centrale de Vannes en Bretagne-sud confère à Vannes et à ses chefs politiques et religieux un rôle prédominant.

Les comtes et évêques de Vannes sont des personnages clés de l’équilibre entre la Bretagne et la France.

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Ville du missus Nominoë, Vannes est une des cités royales de l’éphémère royaume de Bretagne. En partie détruite lors des invasions normandes au xe siècle, la ville connaît de nombreux sièges jusqu’à la fin de la guerre de Succession avant de devenir la résidence préférée des ducs Jean IV et Jean V. Théâtre de l’Union de la Bretagne à la France en 1532, Vannes connaît un essor religieux exceptionnel au cours du xvie et xviie siècles. Lors de la Révolution française, la ville est partagée entre la Nation et la Chouannerie.

Préfecture du Morbihan, Vannes continue son développement depuis le xixe siècle malgré l’activité maritime qui s’effondre à la même époque. À partir des années 1870, la ville se dote de nouveaux bâtiments publics et connaît un regain d’activité avec l’arrivée du chemin de fer et l’installation de régiments. L’après Première Guerre mondiale marque le temps des mutations alors que l’après Seconde Guerre mondiale marque celui de la croissance économique et démographique.

 

Source : Wikipedia

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Château de Kerfily

 

L’actuel château de Kerfily succède à deux autres édifices des xviie et xviiie siècles, tous deux incendiés1,2.

En 1858 (ou de 1860 à 18632), Armand de Charette entreprend la construction du château actuel ainsi que la chapelle privée du Sacré-Cœur.

 

Source : Wikipedia

Sarzeau

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Lorsque Sarzeau devint une commune pendant la Révolution, son territoire comprenait en outre les trêves de Saint-Armel et Saint-Clair (Le Tour-du -parc), qui obtinrent leur indépendance au cours du XIXe siècle ; Brillac et Penvins tentèrent également de faire sécession, mais en vain.

Il persiste encore aujourd’hui une distinction entre « gens du Golfe » (aod bihan = petite côte) et « gens de l’océan » (aod braz = grande côte) et les différents groupes de villages conservent en partie leur organisation propre, avec leur mairie annexe (Brillac et Penvins), leur école (autrefois Kerignard et Penvins, aujourd’hui encore St Colombier et Brillac), leurs célébrations religieuses occasionnelles (Notre-dame de la côte à la Grée-Penvins, chapelle St-Jacques à Trévenaste…), voire leur propre paroisse (accordée à Brillac en 1926), leurs commerces (St Jacques, Brillac), leurs propres fêtes (fête de la mer à St-Jacques, moules -partie à Brillac, fêtes médiévales de Suscinio…) et leur bureau de vote.

Le tourisme tend à rendre plus ténue cette organisation traditionnelle, tout comme il a contribué à rendre moins sensible (ou moins visible) les spécificités socio-professionnelles de ces groupes de villages : tandis que Sarzeau-bourg monopolisait le commerce et les fonctions publiques, St Jacques et le Logeo étaient surtout constitués de familles de marins, alors que St Colombier, Penvins et Kerguet demeuraient rurales.

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Le canton de Sarzeau constitue la limite Sud de la partie bretonnante du diocèse de Vannes (=Bro Gwened). La pratique du breton a décliné au long du XXe siècle, et ce, en plusieurs étapes: d’abord à Arzon, St Gildas-de-Rhuys et au bourg de Sarzeau (années 1900-1930), puis sur les rives du Golfe (entre-deux-guerres), et enfin sur le littoral Sud-Est (années 1940-1970).

Aujourd’hui, Penvins, Banastère et Suscinio sont les derniers villages de la presqu’île où l’on trouve encore quelques rares personnes âgées à pratiquer la langue de leurs ancêtres. Ce recul du breton, plus précoce que dans les cantons de l’intérieur du Vannetais, s’explique par plusieurs facteurs : le remplacement systématique de cette langue au profit du français dans l’administration, l’interdiction du breton à l’école (fin XIXe siècle), l’acculturation plus rapide des marins à la nouvelle langue, la perception progressivement acceptée par les bretonnants que la langue de Paris incarnait la modernité et la vague du tourisme à partir de 1950. Néanmoins, l’existence d’une filière scolaire bilingue à Sarzeau depuis les années 1990, montre l’attachement d’une partie de la population à son identité et à sa culture, augurant peut-être un renouveau de la pratique du breton dans le canton.

 

Source : www.sarzeau.fr

Morbihan

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Ce p’tit bout de paradis classé parc naturel régional compte quand même parmi les plus belles baies du monde ! Il faut en effet violenter le pauvre Petit Robert pour parvenir à décrire ce chimérique eldoradomenhirs, dolmens, cairns et cromlec’hs viennent prendre un bain de pieds d’eau de jouvence sur les grèves et estrans de cette vasque d’eau bénite azurée que l’on nomme Mor Bihan : Petite Mer

En bref, cette mer intérieure est un mariage subtil entre histoire et intemporalité, entre irréalité et irréalisme, que seules les « histoires » traditionnelles réussissent à peindre.

Et justement ! D’après la légende, les Korrigans (des lutins lunatiques) expulsèrent les fées de la forêt de Brocéliande . Quelque peu désappointées, ces dernières versèrent tant de larmes que se créa le golfe du Morbihan. Outrées, scandalisées ! Elles y jetèrent ensuite leur couronne, qui donna naissance aux îles parsemant le golfe. Trois couronnes rejoignirent l’océan : les îles Houat, Hoëdic, et enfin Belle-Île (la couronne de la reine des fées).
Mais le temps faisant, de bouches à oreilles les interprétations divergent au grès des imaginations fertiles, c’est pourquoi il existe d’autres légendes aussi floues qu’un myope dans le doute. L’une d’entre elles explique que les fées auraient en fait fui la forêt de Rhuys après que l’homme l’eût profanée de sa hache. Lorsqu’elles s’envolèrent pour s’échapper, elles levèrent un nuage de poussière d’or qui retomba sur la mer du golfe. 365 îles et îlots seraient ainsi apparus, un pour chaque jour de l’année.

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Un peu de sérieux, mais sans trop en faire non plus :

De manière plus terre à terre, l’origine géologique de la petite mer remonte à l’ère quaternaire, à la suite des cycles de glaciation, quand les rivières creusèrent un profond estuaire pour rejoindre l’océan qui s’était retiré plus loin.

Durant le dégel, le fond du golfe, qui était constitué de marais, s’affaissa et l’océan finit par envahir le bassin. Entre une trentaine et une soixantaine d’îles ont été dénombrées dans le golfe. On plaint/moque ceux qui ont visé l’exhaustivité du dénombrement car certaines îles disparaissent à marée haute, quand d’autres s’unissent entre elles à marée basse. C’est le cas de la sirénique île Berder qui s’unit alors grâce à un gois avec le continent.

Les touristes rejoignent agglutinés  l’île en empruntant ce passage à sec. Cependant, à marée montante, ceux qui sont passés au moment favorable attendent devant l’isthme éphémère pour assister à la traversée humide des touristes robinsoniques qui auraient manqué de traverser à temps. êtes vous téméraires? ça vaut le détour..

 

Source : openbarmag

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